Jeremiah Barba : De la guerre du streaming à la course à l'IA et au ML, dire que les secteurs de la tech et des médias innovent à un rythme effréné serait un euphémisme. Et malgré tout, les leaders de ces secteurs continuent de chercher de nouveaux moyens de rester compétitifs et rentables. L'épisode d'aujourd'hui fait partie de notre série Industrious, dans laquelle nous abordons les défis et les opportunités que rencontrent les secteurs clés et partageons des insights issus d'une étude IDC sponsorisée par Workday. Je suis Jeremiah Barba et je suis ravi de vous accueillir. J'ai un invité très spécial avec moi aujourd'hui, Randy Rasmussen, Managing Director of Tech and Media chez Workday. Merci d'être avec nous, Randy.
Randy Rasmussen : Merci de m'avoir invité.
Jeremiah Barba : Avec plaisir. Alors, pour commencer, pourquoi ne pas nous parler un peu de vous, de votre parcours et de votre travail dans la tech et les médias.
Randy Rasmussen : J'ai commencé ma carrière dans la comptabilité publique, en tant qu'expert-comptable. J'ai travaillé dans des entreprises technologiques, principalement dans les domaines des logiciels et de l'Internet, ces 30 dernières années. Juste avant de rejoindre Workday, j'étais le directeur financier d'un fournisseur de solutions SaaS. J'ai conduit deux transformations financières dans ces entreprises, y compris le déploiement de Workday. Je dirige aujourd'hui le service Workday dédié aux secteurs de la tech et des médias.
Jeremiah Barba : Vous avez pu observer tous les différents aspects de l'entreprise. Parlons donc du fil conducteur de notre podcast d'aujourd'hui. J'ai mentionné une étude IDC récemment publiée, et nos auditeurs vont vouloir rester à l'écoute pour savoir comment l'obtenir. Restez donc avec nous encore un petit moment pour en savoir plus. Commençons par une statistique qui m'a semblé très intéressante. Pour les dirigeants des secteurs de la tech et des médias, attirer les bons talents est une priorité absolue. C'est ce qu'ont répondu 49 % des leaders de la tech et 46 % des leaders du secteur des médias et du divertissement. Ils ont déclaré qu'il s'agissait de leur principale priorité. Pourquoi ne pas commencer avec ça ? Pourquoi est-ce si important aujourd'hui pour la tech et les médias ?
Randy Rasmussen : Je vais peut-être commencer par un exemple. Je discutais l'autre jour avec un directeur financier. Nous disposons d'un centre d'expérience client dans nos bureaux de Pleasanton. Et nous lui avons demandé : « Qu'est-ce qui vous préoccupe ? À quoi pensez-vous en tant que responsable d'une équipe de direction ? » Et il nous a répondu, « Notre équipe de direction a quatre grandes priorités. » Mais ce qui l'intéressait vraiment était de savoir comment mesurer ces priorités, comment s'assurer de disposer de ressources suffisantes pour répondre à ces priorités, comment s'assurer d'avoir les bons talents et comment s'assurer d'investir dans des collaborateurs qui travaillent effectivement sur ces quatre priorités et pas sur autre chose qui ne soit pas prioritaire pour l'entreprise. En bref, il s'agit d'avoir de la visibilité et des outils, et de veiller à ce que les bons collaborateurs occupent le bon poste et effectuent les tâches qui sont importantes pour votre entreprise. Et je pense que dans les secteurs de la tech et des médias, ces initiatives sont souvent axées sur la croissance ou la rentabilité. Lorsque vous cherchez la rentabilité, vous devez adapter vos investissements. Vous devez vous assurer que vous avez les bons collaborateurs au bon endroit et qu'ils ont les leviers pour agir, que vous avez des systèmes en place comme Workday, des outils qui vous permettent d'examiner votre entreprise, et que vos talents sont optimisés pour avoir une vue d'ensemble de l'entreprise et garantir la mise en œuvre et le respect de vos priorités tout au long de l'année.
Jeremiah Barba : Il est très intéressant de voir tout ce que les leaders de la tech et des médias doivent prendre en compte aujourd'hui. 55 % des leaders de la tech interrogés dans le cadre de l'enquête ont révélé que l'amélioration de leurs processus d'opportunité et de devis-encaissement était leur principale priorité. Penchons-nous un peu sur cette question. Tout d'abord, pourquoi ne pas définir le concept de devis-encaissement au cas où certains de nos auditeurs ne le connaîtraient pas, puis expliquer pourquoi il est si important pour les entreprises technologiques.
Randy Rasmussen : Je pense qu'il est bon de le définir, parce que ce terme est beaucoup utilisé. Et à moins qu'il ne vous soit familier et que vous ne travailliez au sein d'un service commercial ou financier, vous ne le connaissez peut-être pas. Il désigne les fonctions de bout en bout de l'activité de vente de votre entreprise. On commence par une opportunité de vente. Il faut ensuite effectuer le processus de configuration, de tarification et d'élaboration du devis, qu'on appelle CPQ, afin d'obtenir une commande client, c'est-à-dire une proposition. Vous l'envoyez au client. Ensuite vous négociez, vous signez un contrat, vous avez une commande, vous faites le nécessaire pour fournir ce que vous vendez, vous envoyez une facture, vous vous faites payer et vous comptabilisez les revenus. C'est l'ensemble de ce cycle qu'on appelle devis-encaissement. Pourquoi est-il si important ? Parce qu'il est plutôt complexe et comporte de nombreuses étapes. Et vous voulez vous assurer de réduire au maximum les frictions susceptibles de ralentir l'activité. Il faut aller vite. Il faut donner aux clients ce qu'ils veulent. Il est également important d'automatiser ce processus avec le Machine Learning et l'IA afin d'accélérer les étapes, de réduire les erreurs, de livrer la bonne commande au client et de lui envoyer la bonne facture. Tout cela vous permet d'encaisser plus rapidement l'argent que le client vous doit. L'automatisation et un cycle devis-encaissement accéléré sont importants, mais obtenir un feedback de votre entreprise tout au long du processus l'est tout autant.
En règle générale, vous disposez en premier lieu d'une force de vente qui s'occupe de la gestion des opportunités et de l'établissement des devis, puis Workday prend le relai à la signature du contrat, transforme ce dernier en facture, établit un calendrier de facturation et comptabilise les revenus. Et tout au long du processus, il est important de pouvoir rapidement savoir où vous en êtes, à quelle étape vous vous situez côté vente, quelle est votre position dans le pipeline, ce qu'il vous reste à faire, si vous avez donné les bons conseils et si vous allez atteindre vos chiffres. Et vous voulez des réponses rapides et précises, de sorte à pouvoir faire des ajustements pour le mois ou le trimestre. Vous pouvez demander à votre équipe de vente d'insister sur certains comptes ou de travailler avec les clients de manière à leur apporter de la valeur et à conclure des contrats, puis d'entrer rapidement tout cela dans le système. C'est pour toutes ces raisons que la vitesse et l'agilité sont toujours au cœur des préoccupations dans la tech et les médias.
Jeremiah Barba : Ce concept de devis-encaissement est très intéressant parce que nous en faisons l'expérience tout le temps, en tant que consommateurs : « Oh, est-ce que je fais cet achat dans l'application ? Est-ce que je garde ce service de streaming ? » Mais l'impact est considérable et l'enjeu crucial, n'est-ce pas ? C'est un excellent exemple. Selon l'étude IDC, les secteurs de la tech et des médias se trouvent à un point d'inflexion quant à leur transition vers ce qu'ils appellent les « services Cloud ». Une statistique intéressante révèle que seulement 25 à 30 % des entreprises de la tech et des médias avaient l'impression de prospérer. Comment l'expliquez-vous et qu'est-ce que ces entreprises essaient de faire pour y remédier dans le cadre de leur transformation ?
Randy Rasmussen : Dans le domaine de la tech et des médias, je classe les entreprises en deux catégories. La première est celle des entreprises plus récentes qui ont été conçues dans le Cloud. Elles n'ont donc jamais eu de data centers, elles n'ont jamais eu de systèmes traditionnels et elles ont toujours opté pour des solutions de pointe. Au fur et à mesure qu'elles se sont développées, elles ont trouvé des solutions aux problèmes rencontrés et ont intégré ces solutions à leur modèle. Alors qu'elles sont aujourd'hui matures, ces entreprises se rendent compte que ce n'est pas un environnement optimal parce qu'il est coûteux à gérer. Elles ont acheté beaucoup de logiciels différents et n'utilisent peut-être qu'une seule fonctionnalité de chacun. Ce qu'elles veulent vraiment, c'est un système unifié qui élimine la complexité liée à la gestion de trop nombreuses solutions ponctuelles, élimine le coût de leur intégration et leur permet de bénéficier d'une seule plateforme, d'un seul modèle de sécurité et d'un seul modèle de données. On en revient encore à la rapidité et à l'agilité. Je pense qu'elles sont également à la recherche d'une solution qui intègre nativement le Machine Learning et l'IA.
C'est un peu comme si ces entreprises plus récentes, qui étaient très à la pointe, avaient atteint les limites de leur modèle. Elles se posent donc des questions : « Est-ce que ces environnements ont un sens ? » Et puis dans les médias, certaines entreprises existent depuis longtemps, disposent de solutions sur site et font face à un problème différent : elles possèdent beaucoup d'applications traditionnelles, dont certaines peuvent avoir été déployées au début des années 90. Je pense qu'il y a des cas où il n'y a peut-être qu'un seul ingénieur dans toute l'entreprise capable de résoudre les problèmes liés au code de ces applications, et cette personne est sur le point de partir à la retraite. Ces entreprises courent donc le risque de devoir embaucher des consultants et faire des réparations ponctuelles pour simplement maintenir l'activité. Je suis sûr qu'elles sont intéressées par le passage au Cloud, car elles essaient vraiment de s'affranchir de ces systèmes traditionnels et de construire une plateforme pour l'avenir.
Jeremiah Barba : Cela nous amène au sujet suivant : si ces entreprises font face à de telles difficultés avec les systèmes traditionnels, avec cette déconnexion, cela a un impact sur la prise de décision, non ? L'amélioration de la prise de décision est clairement un objectif que partagent le secteur de la tech et celui des médias. Lorsque vous discutez avec des clients du secteur, sur quels points insistent-ils pour améliorer la prise de décision dans leur entreprise ?
Randy Rasmussen : En matière de prise de décision, la capacité à agir rapidement est la principale priorité. La tech et les médias sont des secteurs dynamiques. Il y a toujours un nouveau venu. Il y a toujours une nouveauté. Il y a toujours un nouveau business model. Il est donc essentiel de pouvoir identifier ce business model, créer un marché, intégrer rapidement cette nouveauté dans l'entreprise et obtenir des données sur son fonctionnement et sur les éventuels ajustements à apporter. C'est un peu un cliché, mais vous savez, il faut échouer pour vite se relever. Si quelque chose ne fonctionne pas, vous voulez le savoir immédiatement afin de pouvoir procéder à des ajustements. Ce qui est intéressant également, quand on pense à l'information et à la vitesse, ce sont les fusions-acquisitions. La tech est un secteur intéressant en ce moment. En 2021, il y a eu beaucoup de financements et d'introductions en bourse, de levées de fonds, beaucoup d'argent disponible. Vous n'aviez donc pas nécessairement besoin de prendre la meilleure décision. Si vous aviez de l'argent, vous pouviez donner la priorité à la croissance plutôt qu'à la rentabilité et essayer beaucoup de choses. Je pense que nous sommes à la fin d'un cycle, mais est-ce que cela ne marque pas le début d'un autre ? Le marché des actions repart à la hausse et les investissements reprennent. Je pense que la prochaine génération d'entreprises de la tech et des médias est en train de naître en ce moment même, et certains des grands acteurs du secteur entrevoient déjà la possibilité de faire des acquisitions intéressantes. Ils savent qu'il existe des entreprises qui n'étaient peut-être pas bien gérées ou bien financées, mais qui disposent d'un produit ou d'une propriété intellectuelle de qualité qu'ils pourraient acquérir par le biais de fusions-acquisitions pour en tirer pleinement parti et s'en servir comme carburant pour leur croissance future.
Jeremiah Barba : Il doit s'agir de l'un des créneaux les plus actifs dans le domaine des fusions-acquisitions, non ? Nous en faisons tous l'expérience en tant que consommateurs. J'adorerais si tous les services de streaming étaient réunis, comme ça j'arrêterais de m'abonner à chaque plateforme pour ensuite oublier d'annuler. C'est une aventure en tant que consommateur et, j'en suis sûr, en tant que dirigeant d'entreprise. Nous allons donc changer un peu de sujet, même si cela reste lié à ce que vous avez dit plus tôt au sujet des systèmes traditionnels et de la manière dont les entreprises essaient de s'améliorer. IDC les appelle « services Cloud connectés » et nous les appelons « solutions Cloud de gestion d'entreprise ». C'est une priorité majeure des secteurs de la tech et des médias. Parlons un peu des raisons pour lesquelles il est si important de passer au Cloud, puis de comment Workday change la donne pour les entreprises de la tech et des médias.
Randy Rasmussen : Nous avons parlé de la rapidité à laquelle évoluent les entreprises de la tech et des médias. Lorsque vous pensez aux équipes que voulez dans ces entreprises, elles doivent être passionnées, curieuses et capables de raisonner efficacement. Quand on pense à une équipe qui raisonne efficacement, quels types d'outils peut-elle bien utiliser ? C'est vraiment difficile lorsque vous évoluez dans un environnement complexe avec différentes applications et des silos d'informations. Certaines entreprises ont transféré ces données dans un lac de données ou un data warehouse et ont mis en place des outils par-dessus, ce qui résout en partie le problème. Mais il reste la question de la cohérence et des multiples sources de données, car on peut se demander si les champs et les données sont correctement mappés lorsqu'on les place dans le lac de données. On en revient donc à la question qui nous intéresse : pourquoi Workday est différent ? Pour moi, la principale différence réside dans son modèle de données unique. Il s'agit d'un système orienté objet où les éléments sont connectés entre eux et où il n'est pas nécessaire d'aller dans différents tableaux, différents emplacements et différents modules pour trouver des informations et essayer de les agréger. Tout cela se fait de manière native dans l'application. Et comme je l'ai déjà mentionné, il s'agit d'une seule plateforme avec un seul modèle de sécurité et un seul modèle de données. La capacité de Workday à accélérer la prise de décision grâce à une seule source de données est juste incroyable. Et beaucoup de nos clients ont vraiment créé de la valeur en adoptant Workday dans leur entreprise.
Jeremiah Barba : Comme lorsque vous faites une pause entre deux épisodes de votre série préférée, nous allons appuyer sur le bouton « pause » pendant une minute, afin que je puisse vous expliquer comment obtenir l'étude IDC dont je vous ai parlé. Elle porte sur la transformation Cloud dans le secteur de la tech et celui des médias et du divertissement, et voici l'URL pour l'obtenir : workday.com/idctech. Workday.com/i-d-c-t-e-c-h, si on l'épelle. Cette étude fournit de précieux éclairages et j'espère que vous y jetterez un coup d'œil. Et maintenant, revenons à notre épisode !
Je suis certain que vous ne serez pas surpris d'entendre une question à ce sujet. Je parle bien sûr de l'IA et du ML. Les leaders de la tech et des médias déploient des efforts considérables pour mettre ces technologies à leur service. Dans l'enquête, les principaux domaines mentionnés sont le contrôle des coûts et la prise de décision. Alors, que vous disent les clients et d'autres leaders du secteur sur leurs efforts pour tirer le meilleur parti de l'IA et du ML ?
Randy Rasmussen : Je vais peut-être juste vous raconter une petite anecdote de ma propre expérience : l'IA est le mot à la mode en ce moment. Je me suis rendu pour la première fois à la réunion des clients de Workday en 2017 à l'occasion de Workday Rising, et le Machine Learning et l'IA y étaient déjà abordés. Il ne s'agit donc pas d'un nouveau sujet pour Workday, même si on en parle beaucoup aujourd'hui dans le Wall Street Journal. Je pense néanmoins que c'est important de le préciser, car Workday a toujours pris le Machine Learning et l'IA au sérieux, et qu'ils sont tous deux intégrés au cœur du système. Quand on regarde ce qui est important pour les DAF, on note qu'ils ont plus ou moins quatre priorités : éliminer les inefficacités, gagner du temps, gérer les risques et prédire les résultats. D'après l'enquête, il s'agit en premier lieu de gagner en efficacité, puis de prédire les résultats. Je préfère toujours prendre des exemples concrets, parce que parfois, quand on parle de l'IA et du ML, les gens se demandent : « Qu'est-ce que cela signifie ? » Ils se disent que ce n'est peut-être qu'un détail, alors qu'en réalité c'est beaucoup plus que cela. Je voyage beaucoup. Et je déteste faire des notes de frais. Je pense que la plupart des gens détestent faire des notes de frais. C'est quelque chose de pourtant très simple, mais on en fait beaucoup.
Ce qui est intéressant avec Workday, et je l'ai sur mon téléphone, c'est que je suis en voyage, je suis à l'aéroport, je mange un morceau, on me donne la note, je m'assois à table, je prends une photo de la note avec mon téléphone, je commence à manger, je remarque que j'ai reçu un e-mail de l'hôtel, et c'est la facture qu'ils m'ont envoyée électroniquement. Je transfère alors cet e-mail vers une boîte de réception Workday. Je monte ensuite dans l'avion et je rentre chez moi. Et la semaine suivante, je me dis qu'il faut que je pense à faire ma note de frais. Alors je reprends mes reçus. Les transactions de ma carte de crédit d'entreprise ont été chargées dans le système Workday. Elles ont été codées. Le système y accède, recherche les reçus que j'ai scannés et ceux que j'ai envoyés par e-mail, et me fait des suggestions : « Hé, cela ressemble à votre facture d'hôtel. C'est bien cela ? », « Oui » et « Voici votre repas, c'est bien cela ? ». Et tout ce que le système a besoin de me demander c'est : « Nous pouvons dire que c'est un repas. Est-ce le petit-déjeuner, le déjeuner ou le dîner ? » Je réponds que c'est un déjeuner. Je jette un coup d'œil à la note de frais, elle a l'air correcte et je l'envoie. Cela peut paraître anodin, mais cela permet de gagner beaucoup de temps. Il faut normalement que je scanne les reçus, que je les joigne, que je les cherche et que je me rappelle où je les ai mis parce que je ne l'ai pas fait aussitôt. C'est un gain de temps considérable. Et si vous prenez ce genre de système pour une très grande entreprise avec de nombreux voyageurs, cela permet de gagner un temps fou. Il s'agit aussi de pouvoir prédire avec précision où les choses devraient être codées. Cela élimine l'erreur humaine du processus. Alors, c'est un détail, certes, mais je pense que cela montre bien la puissance de ces outils.
Jeremiah Barba : C'est un excellent exemple. Je n'ai encore jamais rencontré quelqu'un qui dise : « J'adore les notes de frais, si seulement j'en avais plus à faire ». Workday est excellent pour ça. Pour conclure, si vous aviez quelques minutes à consacrer à un leader de la tech ou des médias et qu'il vous demandait un seul conseil en ce début d'année, en lien avec ce dont nous avons parlé aujourd'hui, quel serait-il ?
Randy Rasmussen : Je pense que ça concernerait la capacité à aller vite. Dans les secteurs de la tech et des médias, votre entreprise a des concurrents. Et ils ont déjà commencé à s'intéresser aux outils et à l'efficacité, et à se pencher sur les questions soulevées dans l'enquête. Vous devez donc agir dès maintenant. Analysez vos systèmes, voyez où sont les écarts. Identifiez les domaines où la mise en œuvre d'un système comme Workday serait très utile et améliorerait la rapidité et l'agilité de votre entreprise, parce que vos concurrents le font déjà. Si vous attendez trop longtemps, vous risquez de prendre un train de retard. Workday est une plateforme conçue pour la croissance, et c'est ainsi que vous devez l'envisager pour votre entreprise.
Jeremiah Barba : Ce thème est revenu tout au long de notre conversation, et c'est une excellente façon de conclure. Merci encore pour votre présence aujourd'hui, Randy. J'ai vraiment apprécié.
Randy Rasmussen : Merci de m'avoir invité.
Jeremiah Barba : Nous avons parlé des défis et des opportunités des secteurs de la tech et des médias avec Randy Rasmussen. Au cas où vous l'auriez manqué, voici à nouveau l'URL pour obtenir l'étude IDC. Il s'agit de workday.com/idctech, encore une fois, c'est workday.com/i-d-c-t-e-c-h.
Si vous avez apprécié notre podcast d'aujourd'hui, n'hésitez pas à nous suivre où que vous soyez et n'oubliez pas que vous pouvez retrouver notre catalogue complet sur workday.com/podcasts. Je suis votre hôte, Jeremiah Barba, et j'espère que vous passez une excellente journée avec Workday.